[Background] Une histoire royale

[[Je n'ai pas encore trop d'idée pour la mise en page de mon Background, donc je vais commencer par écrire l'histoire telle que Piimousse le ferait. Je verrais par la suite si j'inclus des actions.]]

Premier Chapitre :

Je suis née à Bonta, dans le quartier des bijoutiers... Mes parents étaient des notables du coin. Bijoutiers sur plusieurs générations, ma famille était alors comptée parmi les plus riches de Bonta. On racontait même que le sang royal coulait dans nos veines... Des générations antérieures auraient habité à la Cour du Roi...

C'est là bas que j'ai passé mon enfance, chérie par mes parents mais également par tout le personnel de la maison et les différentes familles de mon quartier.
J'étais une enfant hors du commun paraît-il... Je passais de longues heures à jouer seule dans ma chambre, ou en compagnie de ma mère. Les enfants de mon âge ne m'intéressait pas...
Mon père était rarement présent à la maison à vrai dire, il rentrait régulièrement les bras chargés de cadeaux, mais son travail le rappelait aussitôt. Nous passions alors de longues heures seules ma mère et moi. Nous avions tout le temps pour nous, comme la maison était tenue par toute une armée de serviteurs, cuisiniers... Ma mère aimait me parer des plus belles tenues, et m'apprenait à toujours assortir mes accoutrements... Le temps passait, et je n'avais toujours pas commencer le moindre apprentissage. Les combats, l'entraînement, les terres étrangères... Tout ça était tellement loin de moi à cette époque.
Vous l'avez compris, je vivais comme une princesse dans son château.

Mais, mon père en eu marre de ces nombreux voyages. Il rentra définitivement à la maison, et s'installa à l'atelier de Bonta pour travailler son orfèvrerie . Je venais d'avoir 13 ans. Il reprit également en main mon éducation, il était temps que je prenne des cours, et que mon entrainement commence.
Cachée derrière le grand fauteuil du Salon, j'écoutais mes parents débattre de mon avenir. Pas une seule fois, ils me demandèrent mon avis... Mon père voulait faire de moi un exemple de courage, et de force mais ma mère refusait que je suive des entrainements dangereux. Pour protéger le trésor que j'étais, elle poussa mon père à m'inscrire au cours du temple Féca... Ainsi elle pensait m'éviter trop de souffrances...

Quelques mois plus tard tout était réglé, je rejoindrais le temple Féca à la prochaine rentrée. Amakna... Je ne savais plus quoi penser, je tombais de mon trône, et j'étais morte de trouille à l'idée de partir là bas. Je n'étais jamais sortie de Bonta... J'avais beau protester mes parents ne m'écoutaient pas. Les enfants n'avaient pas d'opinion à avoir chez nous...

Je me suis donc retrouvée au village d'Amakna dans une pension proche du temple. Mes parents m'envoyaient tous les mois une jolie somme de Kamas pour mes dépenses... Ne prenant jamais le temps eux de lire les longues lettres que je leur envoyais. Je mettais donc l'argent de côté, et passais mon temps à lire dans la bibliothèque d'Amakna.
J'avais de nombreuses années à rattraper... Mon enfance m'avais paru idyllique, mais je déchantais de jour en jour. La vie à la pension avait un goût de liberté que je ne voulais plus jamais abandonner.

Peu à peu, je découvrais les terres de Ménalt, en prenant confiance en moi. Je passais de plus en plus de temps à courir les routes du village, à la Milifutaie, passant même de longues soirées à Sufokia.
J'allais avoir 16 ans, la vie bontarienne était loin maintenant et je n'écrivais plus qu'une fois par mois à mes parents pour les remercier de l'argent versé. C'est lors d'une attaque de Milimulou pas loin de la Milifutaie que j'ai rencontré Wrong-life. Le voyant dans une mauvaise posture, j'allais l'aider à mettre à mort l'animal. Nous n'étions tous les deux que peu expérimenté... De ce jour nous sommes devenus inséparables, bravant tous les dangers pour le goût du risque, ou passant de longues heures à discuter allongés dans l'herbe.
Ce fut mon premier mari, mais il était avant tout mon meilleur ami.
J'habitais toujours à la pension, et lui avec des amis de cours également. Ce mariage n'eut jamais la symbolique de l'amour, mais plutôt d'une amitié à toute épreuve...

18 ans, je terminais mon apprentissage et devait rentrer chez mes parents. Je repartis donc pour Bonta, le coeur gros de quitter Amakna.
Là-bas je retrouvais tout à l'identique de mon départ. La maison familiale semblait figé dans le temps... Et la vie repris comme des années auparavant, mon père rentrant le soir du travail pour le dîner, ma mère passant sa journée dans la maison à jouer à la maîtresse de maison. La magie de l'enfance avait disparue, et je découvrais mes parents tels qu'ils étaient réellement.

Je passais alors le plus de temps hors de chez moi... J'apprenais avec passion le métier d'Alchimiste... Mais ne suffisant pas à occuper tout mon temps libre, je décidais de m'engager à la milice de Bonta. L'entraînement intensif que je devais effectuer ainsi que les nombreuses corvées prenaient bien du temps... Mes parents ne réagissant toujours pas, je les laissais planer dans leur monde de richesse.

Passant mon temps à libre à la Milice, ou à traquer les brâkmariens, je rencontrais Outygras. Il était le meneur de la guilde "Vie d'Anges". Wrong-life était partit sur des terres étrangères à Ménalt, mon mariage tombait à l'eau. Je passais de plus en plus de temps avec Outy, il avait suivit les enseignements de Crâ. Un nouveau but vint m'occuper, il fallait que je m'entraîne pour pouvoir rejoindre la guilde d'Outygras.
Mon cercle de puissance était bien trop minable par rapport à la prestance de cette guilde. Il m'aidait quotidiennement à m'entraîner et bientôt nous tombèrent amoureux. Quelques mois plus tard les noces furent célébrées à l'Eglise d'Amakna. La fête fut superbe, mes parents avaient financé l'évènement fiers que j'épouse un guerrier aussi renommé.
Mais je ne rejoindrais jamais "Vie d'Anges", Outy dissous la guilde quelques semaines avant mon intégration... En effet, avec quelques amis à lui, il créa une nouvelle guilde : aXao (Ademar, Xyo, Adelinette, Outygras). Je rentrais donc comme Apprenti dans la nouvelle guilde de mon mari.

[...]

Invité

Mon avis :

Super que tu n'aies pas eu d'idées ! [Background] Une histoire royale Icon_razz

Continue de l'écrire comme ça, c'est trop bien. Bravo !! [Background] Une histoire royale Icon_cheers

Okay ^^ ! On dit merci la maintenance de ce matin, et l'ennui qui me tenait ! Je me suis enfin motivée à commencer à l'écrire depuis le temps que je dois le faire. Bibi mon darkou.

*Ôte son chapeau, s'incline*

Joli ! J'aime bien comment tu écris et ton inspi ! Continue !

Encooooooooooooooooooooooooooooooore ! ! ! Very Happy

[[A vrai dire, l'histoire telle que je l'écris ne transcris pas réellement mon parcours. J'ai rassemblé des évènements, ou séparés pour mieux écrire... Etc. Par exemple, la maison à Otomaï a été acheté bien plus tard, et Chama-Low n'est pas arrivé à ce moment de l'histoire, mais ça reste cohérent, et l'esprit reste le même. Sinon ce serait réellement trop long. Bref, bonne lecture]]

2° Chapitre :

Cette période de ma vie a été marqué par de profonds changements. Tout d'abord, l'arrivée d'un bébé dans la maison familiale, ma mère mit au monde un garçon... Un tout petit bout de bébé, qui braillait sans arrêt : Chama-Low. Mais peu importe le chahut qu'il faisait, il apportait de la vie dans cette maison devenue si froide. Mon père était tellement fier d'avoir enfin un garçon... C'était à se demander si ma naissance ne l'avait pas déçue. Mais bref, je passais beaucoup de temps à m'occuper de mon petit frère.
Mais pourtant dès qu'il fut en âge de marcher, et parler, je décidais de quitter la maison. En effet, je déménagerais pour rejoindre la maison de guilde sur l'île Otomaï. C'était une immense baraque, située dans le Village des éleveurs. Je m'y installais donc avec mon mari, et plusieurs autre membres de la guilde.
A partir de ce jour, je me suis consacrée à la vie de la guilde, et à mon petit frère. Je retournais à Bonta tous les mois pour prendre de ces nouvelles, et passer du temps avec lui. Les voyages pour Bonta étaient longs et onéreux. Je ne pouvais me permettre d'en faire plus.
Le reste du temps se divisait entre mon entrainement, et ma guilde. En effet, j'étais vraiment très en retard par rapport à l'expérience des autres membres. Et pour m'intégrer au mieux, il me fallait remédier à ça. Je passais alors de longues heures à m'entrainer avec Outygras, nous partions plusieurs jours même pour rejoindre des territoires lointains comme la Vallée des Koalaks, les terres noires de Pandala... Je me rappelle que les firefoux me terrorisaient à l'époque. Ils étaient tellement agressifs, violents et... Immenses !
Bref à force de courage, j'atteignais enfin mon centième cercle de puissance.

Le temps passait lentement, et la vie dans la guilde était de plus en plus agréable. Après plusieurs mois d'intégration difficile, j'avais enfin trouvé ma place. Nous passions alors de longues heures à discuter à la tombée de la nuit, soit dans un champs, dans le Grand Salon de la maison... J'ai rencontré parmi eux des personnes exceptionnelles. Mais je reviendrais plus tard à parler de cette guilde. Il y aurait tellement de choses à en dire...

Je m'inquiétais pour mon mari, il ne me paraissait plus épanouie comme lors de nos premières rencontres, ou de notre mariage. Quelque chose de sombre courait dans son regard, il semblait réellement abattu. Après plusieurs jours passés seul à réfléchir, il vint me trouver pour m'expliquer la situation : il décidait de renoncer à la déesse Crâ, pour suivre la voix d'Eniripsa. Il devait donc partir pour de longs mois. J'avais le coeur serré, il n'était pas chose aisé de changer ainsi de voie. Le corps subissait de lourds changements qui pouvaient laissé des traces à vie, et l'esprit également. Et il devrait changer de nom, changer de vie. Je le soutenais tout de même, et le laissais partir le lendemain matin même.
C'est au cours de ce pénible voyage que Outygras devint aXao. Il choisit comme nom celui de sa guilde pour lui rendre hommage.

Je mets jamais de smileys mais la jsuis obligé !
Wouhouuu ! xD

[Background] Une histoire royale Icon_cheers

La suite !

*Looove*

C'est vrais que j'arrive beaucoup plus tard ( à ton 176° galons je crois ) Mais sa passe quand même très bien.

J'veux la suite ! ! ! ! ! ! !

Je veux la suiiiiiiiiteeee

3° Chapitre :

aXao, la guilde. Les débuts n'ont pas été facile, je ne me sentais pas à l'aise parmi toutes ces personnes que je ne connaissais pas, je ne trouvais pas vraiment ma place. Mais j'aimais cette guilde, et je continuais dans l'espoir d'être enfin acceptée comme l'une des leurs.
La guilde faisait ses premiers pas à l'époque, des premiers pas déjà très prometteurs.
Je m'investissais énormément dans le travail en guilde, et je commençais alors à faire mieux connaissance de chacun... Nos meneurs, et meneuses, (Ademar, Xyo, Axao, Adelinette et Elmina) passaient aussi beaucoup de temps pour parfaire la cohésion de la guilde, j'en apprenais énormément. Et puis c'est des relations plus fortes que d'autres, il y avait Darkfataly [[The first, l'unique]], Lucita et puis Helioboros et la jolie Extazia... L'arrivée du grand Magnifike... Oxistorme notre grand diplomate, Ecalibur mon châton... MamzelleKoala ma jolie chérie. Nous étions tous très heureux d'être ensemble, et la guilde vivait paisiblement. Nous avons vu passé énormément de monde, des guerriers de Ménalt. Je donnais tout mon coeur à la guilde, et c'est ainsi que j'évoluais dans la hiérarchie. Je devins secrétaire des Meneurs, m'occupant de gérer toutes la paperasse, et les problèmes en l'absence de mes supérieurs... Ademar qui avait tellement besoin de prendre l'air, Xyo qui partait régulièrement pour de longs voyages loin de Ménalt... Elmina qui avait tant à faire pour ne pas se soucier plus que ça de son travail... Adelinette qui nous quitta définitivement un matin. Bref, j'avais les bras chargés du poids de la guilde.
Mais ça ne me posait pas de problèmes, tout ce qui importait alors c'était que la guilde soit là et en bonne santé, que chacun s'y sente bien et que l'harmonie y règne.
Un jour, je reçut une lettre de la part des Meneurs, me demandant de me rendre devant le conseil le jour suivant. J'avais le coeur serré, par peur d'avoir fait quelque chose de mal... Ou je ne sais pas. Je tenais tellement à cette guilde que l'idée de la quitter me glaçait les sangs. Je me rendais donc auprès des mes Meneurs, et amis pour voir de quoi il s'agissait. Explosion de joie, il m'accordait la place de Meneuse laissée par le départ d'Adel des terres de Ménalt.
Je mettais désormais encore plus de coeur à l'ouvrage...
Et puis l'arrivée de Xélor-Strik et Bravore, mes deux petits bébés. Ces deux garçons étaient tellement gentils, et mignons que je ne me lassais de les câliner. Ils étaient tellement jeunes, je devenais telle leur mère. Et puis Taranis... Et puis Kidrana, de ce jour nous sommes restés inséparables.
Pourtant le statut de meneuse apportait des responsabilités supplémentaires encore, et pour autant il était souvent contesté. Certains pensaient que je ne méritais pas ce grade, que je n'avais pas à le porter. C'était guerre quotidienne que d'essayer de me faire reconnaître en tant que telle...
Plusieurs périodes d'épuisement, j'arrivais à bout de ce que je pouvais faire, de ce que je pouvais contenir comme colère. Alors, je partais, claquant la porte de la maison et de la guilde. J'envoyais se faire foutre tous ces enfants gâtés, tous ceux qui ne savaient pas le travail que j'avais fait pour que la guilde soit ce qu'elle est. Et pourtant je finissais toujours par céder et revenir parmi eux, sous les demandes des membres, et les pleurs d'autres.
Période mouvementée, mon caractère colérique provoquait des tempêtes, mais par ailleurs j'aidais de toutes mes petites forces mes membres.
L'élection de miss Axao m'avait d'ailleurs couronné Reine.
Les années passaient sans même qu'on ait le temps de les compter, la guilde devenait de plus en plus puissante et reconnue. Les candidatures s'entassaient sur le bureau... L'insouciance toujours.
Pourtant, encore période mouvementée, plus encore même. Le retour de Jisa dans la guilde, et trop de choses que je ne pouvais plus supporter. Les autres meneurs qui s'occupaient de la guilde quand bon leur semblait, reniant le travail que j'avais alors effectué tous les jours. J'avais un noeud dans la gorge, et le coeur débordant de colère. Les portes claquaient, ma voix résonnait entre les murs. Jisatsu me menait la vie dure, et personne ne semblait ciller devant mon ras le bol. Je partis donc quelques mois en vacances. Laissant Ménalt derrière moi, mon coeur prenait des vacances. A mon retour, trop de déception. Mon coeur se déchirait, je ne savais plus quoi faire. J'aimais cette guilde plus que tout au monde, c'était le symbole de mon travail, de mon mariage. C'était tout ce que j'avais au monde, mais le mal qu'elle me faisait n'était plus supportable. Un matin, je fis ma valise et je m'en allais.
Personne n'y crût, tout le monde pensait que ce n'était qu'un nouveau départ, pour un nouveau retour. Que je reviendrais quand je serais calmée. Mais non, c'était finit pour moi. Je passais de longues nuits à pleurer sur cette éloignement, j'avais quitté ma famille, et je ne m'en remettais pas. Et puis, quelques amis m'ont rejoint... Kidrana le premier, Durza, Annubis, Fash et Vasou. Tandis que tout le reste de la guilde me pointait du doigt pour me tourner le dos. Pour eux j'avais trahis leur famille, pour moi j'avais retrouvé le calme intérieur. Sous les injonctions des Meneurs, et de Jisatsu, je suis devenue ennemi de la guilde. Je n'ai jamais compris comment ils ont pu réagir ainsi après tout le mal que je m'étais donné pour eux, après tout l'amour que je leur avait transmit. Tous mes chéris m'ont alors oublié, ignoré et méprisé...
Et pourtant c'était la période du renouveau, je décidais de créer ma propre guilde pour la faire à mon image. Pour ne pas reproduire les défauts de Axao je n'en prenais que les bons côté, l'amour, l'entraide et l'amitié. Les valeurs premières qui m'avaient tant séduites là bas.
Période de trouble, je lançais la Vodka Blue sur les terres de Ménalt, je divorçais encore une fois d'Axao, mariage raté qui le restera. Ma guilde était née, dans un climat de guerre et de désespoir.

4° Chapitre :

Une passion, l'écriture. L'envie de connaître le monde qui peuplait nos villes, et villages. Un projet. J'ai atterris là bas comme ça, une fleur déposée sur une table. Mercenaires, Manar lançait les Allieurs, contactant nombreux guerriers renommés sur nos terre. Par mon (ex)mari je rejoignais l'association. Antares, Anacondrilla, Oxymor, Xyo et Axao, on était motivé pour avancer. Mais la déchirure se retrouve partout. Ici aussi des cris, et des portes qui claquent. Je suis restée, et on a recommencé du début. Les Allieurs étaient prêts.
Je ne me retrouvais pas dans les idées des mercenaires, je ne pouvais concevoir ces contrats, ces agressions et pourtant dévouée au clan. J'aimais travailler avec eux, j'aimais les soirées d'animations, de réunions, les entretiens, les papiers à compléter, les candidats à rencontrer, défendre notre honneur, travailler... J'aimais travailler avec eux : Manar, Div' la terrible (Divine Wind) Kobi, le petit Karu... Et puis nous ont rejoint Théodel... Et puis Tufman, et Kyxu, ma Mamy-Litaire, Patta l'unique, Agathéa, Mélancoline... Géniallissime, un emploi du temps surchargé pourtant, mais qu'il était bon de le partager avec eux, pour ce projet là. Moi, tempétueuse ou débordante de gentillesse. Ils m'ont tellement appris, les souvenirs sont marqués de rires et de bières.
Le clan explosait, on était imbattable, et paraissait indétrônable.
Pourtant c'est un temps révolu, je me suis incliné et j'ai tout quitté. Etant alors à l'apogée, j'étais Seigneur Allieur. Pouvant relever n'importe quel défi, pouvant défier quiconque se dressait sur ma route. J'étais détesté, autant qu'adoré... J'ai tiré ma révérence. Le temps me manquait... Ce clan m'avait présenté mon mari, et c'est pour lui que je le quittais. Pour la guilde aussi, les réunions, suivies des animations, suivies des entretiens... Il n'y avait plus de soirs de libres, plus de temps à leur consacrer. Il fallait faire un choix, et pour mes familles j'ai quitté ma passion.

Une pause dans l'écriture.
Je voulais mettre au clair les lignes directives de mon personnage, pour mieux visualiser l'histoire, m'aider à le jouer, et peut-être vous en dire plus.

Piimousse est d'une beauté incontestable, elle en joue énormément avec les tenues qu'elle assortie à ses yeux, ses cheveux... Elle devient rayonnante. Enormément de charisme, c'est une meneuse d'homme, mais d'hommes uniquement. Aucune jalousie dans ses pensées, elle est persuadée que personne ne peut la surpasser elle n'a donc aucune inquiétude à avoir. Sure d'elle même, elle est égocentrique et narcissique. Elle sait ce qu'elle est, et ce qu'elle vaut, et si elle ne le sait pas elle s'en convint. Fort caractère, elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds comme elle ne laissera jamais quelqu'un approcher de trop près ses amis. Complètement dévouée corps et âme à sa famille, ses amis, sa guilde. Loyale jusqu'au bout, d'un énorme générosité toujours avec ces mêmes personnes. Ne cherche pas la gloire, mais juste la reconnaissance. A besoin de se voir reconnue à sa juste valeur pour exister. Elle n'aime pourtant pas les foules, solitaire avant tout. Elle s'est retrouvée là un peu par hasard, à cause surement de sa grande gueule, et de ses grands yeux bleus. Semble paresseuse souvent, mais travaille pourtant énormément. Elle est intransigeante, elle veut piétiner ses ennemies jusqu'à la mort. N'a peur de rien ni de personnes.

5° Chapitre.

Période d'insouciance, marquée par la liberté avant tout. La guilde donc était lancé, petit à petit la reconnaissance, après avoir reçut les pierres. Elle a bien vite été connue, par ma notoriété je lui ai permis d'exister. Nous étions tous très heureux, et sur-motivé à prouver que laVodka Blue sera pour toujours sur les terres de Ménalt. Et puis, il y avait ce climat de bonheur partout. Dans chaque jour nouveau qui s'écoulait, et dans chaque nouvelle rencontre... J'étais tellement épanouie, et heureuse de vivre ainsi. Il y avait tous ces hommes autour de moi, des amis, dans amants et des prétendants. Il y avait surtout tous ces amours... On était tous ensemble, très unis, très liés... Et nous avions ensemble une force extraordinaire. D'affronter le quotidien,les coups et les blessures. Si j'ai tenu c'est pour eux, mes chéris, ma guilde.
Il y avait une sorte d'euphorie superbe dans cette période, je ne saurais mieux la décrire. On était ivre de vivre ensemble surement... Et c'est de cette amour que la guilde a grandit. Et c'est grâce à lui que nous sommes toujours là aujourd'hui. Quand bien même nous avons vu passé nombreux guerriers, aventuriers, et autres personnes errantes. Quand bien même nous avons perdue beaucoup d'entre nous, à jamais ou revenu... Il y aura toujours dans la guilde cette amour du départ.
Il y a cette adoration réciproque qui n'a aucune limite... Bien sûre, je suis meneuse et princesse vénérée. Mais ce n'est que le reflet des sentiments qui me lient à chacun des membres. Il n'y aura jamais entre nous que le respect, et l'adoration mutuelle surement.
Et bien sûre, toujours des périodes difficiles, des déchirements, et des crises. On a tout surmonté. J'ai trouvé alors avec eux l'équilibre, et la force qu'il me manquait jusqu'à présent. Tout est beaucoup plus simple, et plus clair. Il n'y aura jamais rien d'autre que Vodka Blue, parce qu'elle fait partie intégrante de moi.
Et je me suis mariée, moi qui avait tant crié que plus jamais on ne m'y prendrait, qu'il était bien plus confortable, et intéressant d'avoir maintes amants, qu'un seul mari. Il y avait cet homme qui m'apportait le détail manquant, et c'est ainsi que ça devait être. Une nouvelle vie, une nouvelle guilde, et une nouvelle famille.
Depuis lors, il n'y a pas de fausse note ou presque. Juste un bonheur paisible, qui jamais ne cessera.

[[Lettre pour mon mariage
L'histoire, les débuts de la guilde
Le journal de Piim]]

» Chama-Low, BackGround.